Le Nutri-Score.
Signalétique sur les produits alimentaires, le Nutri-Score.
Le but : guider le consommateur pour limiter la malbouffe et prévenir ainsi les risques de surpoids ou de maladies cardiovasculaires. En France, près de la moitié (49%) des adultes sont en surpoids, et un sur six (17%) est obèse.
Alors que deux ans après son introduction officielle, le Nutri-Score n’est présent que sur 5 % des produits1, Avec près d’un enfant sur cinq touché par l’obésité ou le surpoids3, il est plus que jamais indispensable de faire toute la transparence sur la composition nutritionnelle des aliments
Afin de faire la lumière sur les caractéristiques nutritionnelles des aliments industriels couramment donnés aux enfants et alors que 82 % des consommateurs n’arrivent pas à lire le complexe tableau d’analyse nutritionnelle obligatoire4, l’UFC-Que Choisir a calculé le Nutri-Score pour une trentaine d’aliments et boissons de grandes marques parmi les plus vendus qui – à l’exception d’un seul produit5 – ne l’affichent pas sur leur emballage. Les résultats de cet examen sont déplorables.
Céréales pour enfants : le faux-ami du petit déjeuner
Pour le petit déjeuner, à l’exception notable des céréales « Nesquik au blé complet » de Nestlé (notée Nutri-Score « B » vert clair), les produits phares que propose l’industrie alimentaire pour le goûter se révèlent trop caloriques. Les céréales « Chocapic » et « Lion » de Nestlé et « Coco Pops » de Kellogg’s sont ainsi notées « C ».Mais ce sont les « BN p’tit dèj » qui reçoivent la plus mauvaise note avec un Nutri-Score « E » équivalent à celui des gaufres fourrées au sucre !
Un goûter équilibré, c’est mission quasi impossible !
Proposer un quatre heures équilibré aux enfants semble être inatteignable avec des aliments industriels. Certes les compotes « St Mamet » et « Pom’potes » sont classées Nutri-Score « A » et sont à ce titre les produits ayant la meilleure qualité nutritionnelle de notre échantillon.Le score « D » est ainsi attribué au gâteau « Lulu l’ourson au chocolat », aux biscuits « Prince » de Lu-Mondelez, Les « bonnets d’âne » sont décernés aux crêpes fourrées au chocolat « Whaou », aux barres « Prince », aux « Dinosaurus » de Lotus, aux « Pépitos pockitos » au chocolat de Lu-Mondelez qui reçoivent un « E ».
Boissons pour enfants : le Nutri-Score démystifie le « fruit-washing »
Seules les bouteilles de Vittel (Nestlé) à destination des enfants récoltent un Nutri-Score « A ». En revanche, toutes les autres boissons de notre échantillon se révèlent mal classées sur le plan nutritionnel du fait de leurs teneurs élevées en sucre. « Fruit shoot tropical », « Fruit shoot fruits rouges » de Teisseire et « Heroic Kids framboise cassis » sont ainsi classés « D ».
Si notre étude démontre qu’à rebours des recommandations officielles, trop d’industriels continuent à saturer leurs produits de sucres et de matières grasses, elle souligne aussi que le Nutri-Score permet de faire comprendre en un clin d’œil leur mauvaise qualité nutritionnelle.
Cet étiquetage n’étant qu’optionnel en raison d’une législation européenne, l’UFC-Que Choisir a lancé en mai une initiative citoyenne européenne pour obliger les instances européennes à rendre l’affichage du Nutri-Score obligatoire dans toute l’Union.
Info Energie dans les Ardennes
Économies d’énergie, aux énergies renouvelables et au changement climatique
Le consommateur ardennais propose aux ardennais intéressés qu’un » Espace Info Energie » existe et vous informe…
Ce service est une plateforme ardennaise gouvernementale officielle qui permet d’éviter les turpitudes des démarcheurs hors établissements et les ennuis bancaires, de prestataires de services plus ou moins compétents, plus ou moins qualifiés RGE …
En cas de doute, nous écrire : contact@ardennes.ufcquechoisir.fr ou nous appeler au 0324537017, nous rappelons
Des conseils gratuits, objectifs et personnalisés
Au sein de l’Espace Info Energie, des spécialistes vous informent et vous conseillent sur toutes les questions relatives aux économies d’énergie, aux énergies renouvelables et au changement climatique :
Quels sont les gestes simples à effectuer ?
Quel type d’équipement choisir ?
Comment isoler ma maison ?
Quelles sont les aides financières accordées ?
Des brochures et des guides pratiques sont également mis à votre disposition ainsi qu’un centre de ressources et un espace de travail. L’avantage du réseau Infonergie est d’être indépendant des fournisseurs de matériel ou d’énergie. La charte des Espaces Info Énergie indique que les conseils doivent être gratuits et neutres.
Téléphone au 03 24 32 11 22 Les Lundis et Vendredi de 9 heures à 12 heures et de 14 à 17 heures.
Pour plus info : https://www.eie-grandest.fr/conseillers-faire-eie/?gclid=EAIaIQobChMIpIfIxeC05gIViLTtCh0fSQKFEAAYASAAEgJ2Z_D_BwE
Les arrhes et les acomptes
Les arrhes et les acomptes
Les arrhes et les acomptes sont des sommes versées à l’occasion d’une commande ou d’un contrat de vente. A défaut de précision, les sommes versées à l’avance sont des arrhes.
Définitions
- L ‘acompte est un premier versement à valoir sur un achat. Il implique un engagement ferme des deux parties. Par conséquent, l’obligation d’acheter pour le consommateur et celle de fournir la marchandise pour le commerçant. Il n’y a aucune possibilité de dédit et le consommateur peut être condamné à payer des dommages-intérêts s’il se rétracte. Le commerçant lui-même ne peut se raviser, même en remboursant l’acompte au consommateur. Il pourrait être contraint lui aussi à verser des dommages-intérêts.
- Les arrhes sont perdues pour le consommateur, sauf dispositions contraires prévues au contrat, s’il annule une commande ou se désiste, il ne peut être contraint à l’exécution du contrat. Cependant, un accord amiable est toujours possible.
Si le vendeur ne livre pas ou n’exécute pas la prestation sur laquelle il s’est engagé, il peut être condamné à rembourser au consommateur le double des arrhes versées.
- L’ avoir correspond à la valeur d’une marchandise restituée. Il permet un achat ultérieur. Si le vendeur est dans son tort (marchandise défectueuse, livraison hors délai, etc.), le consommateur n’est pas obligé d’accepter cet arrangement.
Si l’acheteur revient sur sa décision, le vendeur peut, à titre commercial, lui accorder un avoir.
Quelques recommandations.
- Préciser clairement sur le contrat ou le reçu remis si le versement correspond à un acompte ou à des arrhes ;
- Être précis et clair dans la rédaction des clauses de résiliation ;
- Etablir par écrit à l’entête de la société s’il s’agit, d’un avoir, d’un acompte ou des arrhes (à titre de preuve).
Les éléments ci-dessus sont donnés à titre d’information. Ils ne sont pas forcément exhaustifs et ne sauraient se substituer aux textes officiels.
Pour tout renseignement complémentaire, reportez-vous aux textes applicables et/ou rapprochez-vous d’une direction départementale de la protection des populations (DDPP) ou direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations (DDCSPP)
JP
Les médecins généralistes refusent les nouveaux patients
Enquête auprès des médecins généralistes
Près d’un médecin traitant sur deux refuse de nouveaux patients
Alors que les députés s’apprêtent à examiner une nouvelle proposition de loi pour lutter contre les déserts médicaux, l’UFC-Que Choisir publie aujourd’hui les résultats alarmants d’une enquête menée auprès de 2770 médecins généralistes.
Ce travail inédit jette un nouvel éclairage sur la problématique de la fracture sanitaire : il montre la grande difficulté pour de nombreux Français à trouver un médecin traitant, qui témoigne, si besoin était, de l’urgence d’une réforme de la répartition des praticiens sur le territoire. C’est pourquoi l’association appelle les parlementaires à instaurer un conventionnement territorial des médecins, et demande à la Ministre de la Santé des mesures d’urgence pour garantir à chaque Français l’accès à un médecin traitant.
44 % des médecins généralistes enquêtés refusent les nouveaux patients
L’enquête inédite menée par les bénévoles de l’UFC-Que Choisir en juin dernier a permis de contacter anonymement 2770 médecins généralistes, répartis sur tout le territoire, pour savoir s’ils acceptaient de nouveaux patients en tant que médecin traitant1. 44 % des médecins interrogés ont refusé notre demande, et 9 % supplémentaires ont déclaré qu’ils souhaitaient d’abord voir le patient avant de se décider.
Nos enquêteurs ont constaté de grands écarts entre départements : si moins de 20 % des généralistes refusaient de nouveaux patients dans le Bas-Rhin, la Meurthe-et-Moselle et les Pyrénées-Atlantiques, le taux de refus grimpe à 70 % dans l’Allier, 78 % en Charente et même 86 % en Seine-et-Marne ! Quant aux motifs évoqués par les professionnels de santé enquêtés, 71 % déclarent avoir déjà trop de patients, quand 14 % arguent de leur départ prochain à la retraite. Comment s’étonner dès lors que près d’un Français sur dix n’ait pas de médecin traitant déclaré ?
1 Enquête conduite entre le 8 et le 22 juin 2019 par les bénévoles des associations locales de l’UFC-Que Choisir de 78 départements de métropole et d’outre-mer. Résultats détaillés dans le Que Choisir n° 586 actuellement en kiosque.
2 Source : Assurance Maladie, citée dans le Rapport des délégués nationaux à l’accès aux soins, octobre 2018.
3 L’offre nettement insuffisante est ici définie comme les territoires où l’offre de médecins généralistes disponible à moins de 30 minutes du domicile est inférieure d’au moins 30 % à la moyenne nationale. Source : Etude UFC-Que Choisir à partir de données Assurance Maladie, 2016.
La France périphérique, nouveau visage des inégalités d’accès aux soins
Étonnamment, notre enquête montre que les difficultés les plus grandes ne se rencontrent pas dans les déserts médicaux les plus importants, mais davantage dans la France périphérique des communes moyennes. Ainsi, si le taux de refus est de 33 % dans les communes de moins de 3000 habitants, et de 34 % dans les communes de plus de 100 000 personnes, il grimpe à 52 % dans les villes de 10 000 à 100 000 habitants ! Un constat qui se confirme si l’on analyse les résultats en fonction de la densité locale de médecins : les refus sont moins nombreux quand l’offre de généralistes est nettement insuffisante (39 % de refus en moyenne) que dans les territoires où la densité est dans la moyenne (46 %)3. Ainsi, tout se passe comme si les médecins présents dans les zones rurales, sachant que les usagers sont privés d’alternative, avaient davantage de réticence à refuser des patients, pour ne pas les laisser démunis. A l’inverse, dans les déserts médicaux des villes moyennes, la présence de confrères, bien qu’en nombre insuffisant pour répondre aux besoins de la population, semble déculpabiliser les praticiens, qui refusent plus largement de nouveaux patients.
La pénurie de médecins traitants menace l’accès de tous aux soins de qualité
Cette situation est d’autant plus préoccupante que notre système de santé est organisé depuis quinze ans autour de la figure du médecin traitant, appelé à gérer l’orientation des usagers dans le parcours de soin. En conséquence, ne pas avoir de médecin traitant expose les usagers à une forte pénalisation de leurs remboursements de soins ; encore faudrait-il qu’ils soient en mesure d’en choisir un ! Cette carence est en outre le symptôme d’un problème plus large de mauvaise répartition des médecins sur le territoire du fait d’une liberté totale d’installation, dénoncée de longue date par l’UFC-Que Choisir, et par un nombre croissant d’acteurs (Cour des Comptes, Direction du Trésor, etc.).
Décidée à garantir un égal accès aux soins sur tout le territoire, l’UFC-Que Choisir presse les pouvoirs publics à agir enfin pour résorber les déserts médicaux qui s’étendent maintenant aux villes moyennes. L’association appelle ainsi les députés à adopter, la semaine prochaine, la proposition de loi contre la désertification médicale et pour la prévention, qui, par l’instauration d’un conventionnement territorial des médecins, amènerait les professionnels de santé à exercer là où sont les besoins de la population.
Par ailleurs, l’UFC-Que Choisir demande à la Ministre de la Santé de mettre fin à la pénalisation financière des usagers sans médecin traitant, devenue inique dans les nombreux territoires en pénurie de médecins, et à organiser d’urgence un système de désignation d’un médecin traitant à chaque usager qui en fera la demande.
Le démantèlement et le recyclage des éoliennes
La durée de vie d’une éolienne est de 20 à 30 ans. Mais depuis quelques temps d’anciens parcs sont démantelés avant d’atteindre cet âge. La technologie dans ce domaine ayant fort évolué, le remplacement d‘anciennes machines par des éoliennes plus puissantes et plus productives est rentable et permet aussi de produire plus d’énergie renouvelable.
Mais que fait-on alors des éoliennes démantelées ?
Leur recyclage est-il possible ?
Nous mettons en ligne deux approches sur le démantèlement.
https://www.climato-realistes.fr/eoliennes-les-couts-caches/
https://www.revolution-energetique.com/dossiers/le-demantelement-et-le-recyclage-des-eoliennes/
L’Avis des consultants litiges
Les enseignements d’une année de permanence
En fin Novembre 2019, il m’est apparu qu’il était plus facile de tirer les expérience d’un travail passé pour l’avenir, plutôt que de faire passer des enseignements par le rire ou l’humour (c’est la seule voie possible), mais cela ne correspond pas à ce que je suis et ce que je veux, et à la limite au sérieux qu’attendent les consommateurs, comme dans » Que Choisir.Org » , même si l’infographie humoristique est de rigueur, mais c’est pour l’indépendance graphique !!!
LES LOGEMENTS :
Le contrat de construction de maison individuelle est obligatoire (Code de la construction et de l’habitation.
Au cours d’un bail en bas de litige réel et sérieux, s’adresser, pendant qu’il en est encore temps, car certaines préfectures ferment ce bureau, d’écrire à Monsieur le Préfet des Ardennes, Direction Départementale des Territoires, commission de conciliation pour les Logements, 08000 Charleville-Mézières.
LES ASSURANCES :
Le contrat d’assurances est le plus important. Il faut le lire entièrement, au mieux, avant de le signer, au pire, le lire avant de demande quoi que ce soit, la réponse se trouve TOUJOURS dans le contrat et vos réclamations ne doivent pas atterrir auprès de votre agent général local, mais au SIEGE NATIONAL avec une copie au LOCAL.
AUTO-MOTOS OCCASION OU NEUF :
Neuf : 24 Mois de garantie légale de conformité – Occasion : 6 mois de garantie légale de conformité, le tout en plus de la garantie du vendeur ou du constructeur.
Les bénévoles de L’UFC Que Choisir Ardennes ne sont pas des agents de constatations, des experts automobiles ou des champions de l’appareil photo ou du déplacement dans les garages. Vous devez faire valoir vos droits par un EXPERT INDÉPENDANT des compagnies d’assurance. Cela existe et nous en avons à vous proposer.
Rappelez-vous qu’un garagiste est soumis à L’OBLIGATION DE RESULTATS et s’il a endommagé encore plus votre véhicule, courrier à Expert de votre compagnie d’assurance ou expert indépendant, LRAR au siège de la concession et au garagiste lui-même.
BANQUES :
Les sièges locaux des banques ne comportent pas de juristes décisionnaires dans les agences. La seule destination possible de vos réclamations est LE SIEGE NATIONAL avec une copie au local, sauf pour certaines Banques avec siège à la région (Exemple : Grand Est). En cas de prélèvement indu, de carte bleue sans négligence de votre part, la Banque vous rembourse, elle est assurée (Articles L 133 18 et L 133 24 du Code Monétaire et Financier) : attention à la mauvaise foi, les Banques sont de plus en plus équipées pour vérifier vos gestes par portable, ordinateur, tablette…
FOURNISSEURS ÉNERGIE :
Au niveau national, nous disposons d’une adresse de messagerie qui permet de joindre directement au service CONSO le fournisseur d’accès à l’énergie et la charte entre celui et l’Ufc Que Choisir PARIS valorise par le rapport aux » Interlocuteurs privilégié » , le traitement en 15 jours du dossier qui » tourne en rond » à cause de vos mails et coups de téléphone inutiles. Aller droit au but en présentant à un décideur le dossier bien expliqué est le rôle du bénévole de l’Ufc Que Choisir.
FOURNISSEURS TELEPHONIE :
La même démarche de procédure est à appliquer en cas de fournisseur de téléphonie quelle qu’elle soit. La perte de temps et d’argent vient très souvent du consommateur qui pense qu’en téléphonant ou en adressant des courriels cela va aller plus vite. Il faut savoir que les décideurs ne sont pas les opérateurs de terrain et les voies de recours sont nombreuses dans ce domaine.
SANTE-ALIMENTATION :
Vos dossiers, confidentiels et faisant l’objet de notre part de l’obligation de réserve, sont traités par un bénévole qui les met en forme ( vous pouvez d’ailleurs le faire vous-même sur contact@ardennes.ufcquechoisir.fr, Votre dossier sera étudié avec les professionnels de santé habilités à en examiner les composantes par le biais des bénévoles engagés dans cette rubrique et faisant partie des Commissions de Réclamation des Usagers. Vous aurez connaissance de la suite le plus rapidement possible par le ou les bénévoles de l’antenne locale des Ardennes.
SERVICES PAR CORRESPONDANCE INTERNET A DISTANCE :
Vous avez droit, selon les cas, de 7 à 14 jours pour vous rétracter, que ce soit au téléphone, sur une page Internet française ou étrangère, pourvu que vous connaissiez le nom du site et la situation des mentions légales (toujours en bas de première page pour obtenir l’adresse géographique). Vérifiez à 2 km de chez vous si vous n’avez pas le même service moins cher et plus pratique !! Ne payez rien avec l’expiration de ces délais !!! En cas de doute sur une manœuvre par paiement par carte bleue, demandez dans votre banque ou au siège national par lettre recommandée l’opération » charge back « .
NOUS NE POUVONS INTERVENIR:
ADMINISTRATION (sauf certains dossiers urgents), VOISINAGE ( sauf vous fournir une piste à votre écoute), AFFAIRES FAMILIALES ( héritage, décès, sauf conditions particulières,
RAPPORTS ENTRE PROFESSIONNELS , EN COURS AUPRES D’UN AVOCAT OU AU TRIBUNAL Toutes ces rubriques ne regardent pas et ne sont pas prises en compte par votre Association Ufc Que Choisir Ardennes, tout comme les 140 autres associations de France.
(Décret du 31 Juillet 1971 sur les conseils juridiques, avocats et autres professions de conseils).
ADHESION : est à distinguer de l’Abonnement à Que Choisir.org donc de la publication nationale. Nous ne pouvons pas traiter par courrier à votre versus même si vous êtes abonnés à Que Choisir : vous devez adhérer (Même texte de Loi que ci-dessus).
Pour les modalités, vous adresser au siège de votre association : contact@ardennes.ufcquechoisir.fr ou 0324537017 vous aurez réponse dans les 48 heures, un bénévole vous appellera.
JP